Suite à un incident qui se serait déroulé chez sa conjointe et qui impliquait la fille de cette dernière, un client a été accusé d’agression sexuelle(271a) Code Criminel), de contact sexuel(151a) Code Criminel), d’incitation à des contacts sexuels(152a) Code Criminel) et d’exhibitionnisme(173 (2a) Code Criminel). Il risquait une peine maximale de 10 ans de prison, et d’une peine minimale d’un an de prison s’il était reconnu coupable des infractions. Après avoir entendu la version de son client, la défense a fixé une date d’enquête préliminaire afin d’interroger les témoins et la victime dans le dossier pour tester la solidité de la preuve. Après avoir constaté l’absence de ces derniers lors de l’enquête préliminaire, la défense a été en mesure de négocier avec la poursuite un moyen de terminer le dossier sans conséquences fâcheuse pour l’accusé. Finalement, suite aux discussions avec la défense, la poursuite a déclaré ne pas avoir de preuves à offrir dans le dossier. Le client a donc été libéré de toutes les accusations qui pesaient contre lui.